Sûrement parce que j’écoute de la musique (raphelson) – ou peut-être parce que je lis la chronique du rêve grenat –, je réalise que mon travail, tout pétri dans le bonheur qu’il soit, du fait de cette bourse, de cet éclairage, est aussi, devra aussi baigner dans une forme de tristesse.
Je ne ferai rien de bon si je ne conçois pas mes personnages comme défunts, et leur monde comme caduc.
Signes non pour être complet, non pour conjuguer / mais pour être fidèle à son ‘transitoire’ / Signes pour retrouver le don des langues / la sienne au moins, que, sinon soi, qui la parlera ? H.M.
13 octobre 2006
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