Il y a bien, à Paris, des ciels où passent des orages.
Week-end avec S. Grands boulevards. Champs Élysées. Guéridon Jean Royère. Shopping. Terminus Nord. BNF. Marais. Terrasse. Amour et sommeil.
Google a désormais ratissé la Suisse. Vu l’immeuble de mes parents sur Street View. Vu la ferme. Il y a même la Toyota devant le garage.
Dans Le Monde, un article sur les Afghans du square Villemin. Il faudrait que je retourne les voir jouer au foot. Je pourrais amonceler de quoi écrire un petit post sur le transblog.
Il faudrait écrire un autre post sur le passage (à retrouver), dans un roman, où j’ai eu l’impression soudaine, et très nette, que ça sortait d’un atelier d’écriture. Ma fierté, ensuite, de découvrir que l’auteur était effectivement passé par un "institut littéraire" (à creuser).
J’ai ajouté à ma page Netvibes le fil RSS du site de l’Association Georges Perec. Mais rien n’arrive.
J'espère que j'aurai fini mon roman l'été prochain.
Aujourd’hui, je rêvasse.
Signes non pour être complet, non pour conjuguer / mais pour être fidèle à son ‘transitoire’ / Signes pour retrouver le don des langues / la sienne au moins, que, sinon soi, qui la parlera ? H.M.
18 juillet 2011
Paris carnet de la patience 31
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